Le prélèvement de la ‘Hala: le Choul’han Arou’h esr d’avis qu’une pâte qui est censée être frite n’est pas assujetie à l’obligation du prélèvement de la ‘Hala. Cependant les décisionnaires plus tardifs, tels que le Chifté Cohen, le Ari Zal , l’Admour hazaken, le Ben Ich ‘Haï, et quantitée de décisionnaires, nécessitent que l’on prélève de la pâte la ‘Hala sans prononcer la bénédiction, mais uniquement: » Haré Zo ‘Hala ». c’est aussi ce que préconise, à priori, le Rav Ovadia Yossef dans le livre « Otsar Hadinim Laicha ». deuxième point: la bénédiction sur les fricassés: on dira « Boré Miné Mezonot » avant la consommation, puis « Al Hamé’hia » après les avoir mangés. il existe deus précisions: 1 ) le principe selon lequel une consommation d’à partir de 250 grammes de gâteaux, implique que l’on se lave les mains et dise Birkat Hamazon, n’est pas vrai ici, dans la mesure où il s’agit d’une pâte qui est frite. 2) si l’on consomme des fricassés à la fin d’un repas sur lequel on aurait fait Motsi, on devra dire Birkat Hamazon. mais, pas comme partie intégrante du repas, mais comme dessert, on devra alors, là aussi, prononcer la bénédiction à la fin du repas, sur les fricassés: » Boré Miné Mézonot », mais après on pourra dire le Birkat Hamazon.
