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Je suis en train de faire Techouva, je connais donc l’importance de chaque Mitsva. Cependant je me trouve être à un stade où je n’ai pas encore la force de toutes les accomplir. Il m’arrive de penser que peut être mieux vaut ne pas inspirer à être parfait, peut être que je ne mérite pas ce niveau, car je me sens parfois hypocrite. Je ne sais plus quoi penser, cette période est très dure pour moi.

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Je suis en train de faire Techouva, je connais donc l’importance de chaque Mitsva. Cependant je me trouve être à un stade où je n’ai pas encore la force de toutes les accomplir. Il m’arrive de penser que peut être mieux vaut ne pas inspirer à être parfait, peut être que je ne mérite pas ce niveau, car je me sens parfois hypocrite. Je ne sais plus quoi penser, cette période est très dure pour moi.

La première condition pour améliorer ses actes est de savoir s’accepter tel que l’on est et connaître son niveau réel. Seule l’acceptation aide à l’amélioration car elle nous libère du stress qui lui ne crée que confusion et baisse de moral. Il est important de servir Hachem dans la joie. Ceci revient à dire qu’il est bon de se laisser le temps d’avancer lentement mais sûrement. Ceci dit, aux moments où l’on sait que l’on faute, il serait bon de s’en sentir désolé, à savoir ne pas légitimiser cela, mais être honnête avec soi même en continuant à aspirer réllement vers le progrès. Nos Sages ont dit :  » Un Tsadik ne peut se tenir là où un repentant se trouve »: ceci signifie que l’investissement de la Techouva est tellement grand, que le mérite l’est encore plus; or le Tsadik ne peut recevoir ce mérite, car il n’est pas attiré vers la faute. Beaucoup de réussite!

Sources