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Comment faut il considérer une personne et se conduire envers elle, personne qui étudie la ‘Hassidout, est pointilleux sur tous les Minhaguims, fait Mivtsaïms, est très érudit, mais à qui l’on ne peut faire de remarque, et il s’avère que tout ce qu’il fait entraîne chez lui de la Yéchout (orgueil)?

Nom du Rabbin:

Comment faut il considérer une personne et se conduire envers elle, personne qui étudie la ‘Hassidout, est pointilleux sur tous les Minhaguims, fait Mivtsaïms, est très érudit, mais à qui l’on ne peut faire de remarque, et il s’avère que tout ce qu’il fait entraîne chez lui de la Yéchout (orgueil)?

Il semble que vous parlez d’un cas bien précis, et la réponse diffère s’il s’agit de vous ou d’une autre personne. Si il s’agit d’une tierce personne, qui dit qu’il fasse « se conduire envers elle », c’est-à-dire faire quelque chose? Qui dit qu’il faille faire une remarque? A moins que vous ne soyez son parent, son maître, il n’est pas certain que son ami ou même son frère doive faire quelque chose.

Concrètement, tout dépend de l’âge de la personne, ainsi que d’autres détails qui ne sont pas mentionnés dans votre lettre.

Il est certain qu’il faut regarder cette personne d’un bon œil, avoir de l’estime pour toutes ses bonnes actions, et faire fi du mieux possible de ses défauts. Si D… veut ces défauts disparaîtront, ainsi qu’il est dit:  » Ce qui n’est pas Léchma (pour D… uniquement), le deviendra ». Si les actes sont donc bons, l’orgueil s’apaisera, si D… veut.

Sources