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Je vous écris car je ne sais quoi faire: jusqu’à il n’y a pas longtemps j’évoluais de façon fulgurante dans ma Avodat Hachem (travail divin ). D’un coup: c’est le ciel et la terre: je sens que je n’avance plus. Lorsque je prie je n’arrive pas à y mettre mon cœur, je ne capte plus ce que j’étudie, je sens que je chute de jour en jour.

Nom du Rabbin:

Je vous écris car je ne sais quoi faire: jusqu’à il n’y a pas longtemps j’évoluais de façon fulgurante dans ma Avodat Hachem (travail divin ). D’un coup: c’est le ciel et la terre: je sens que je n’avance plus. Lorsque je prie je n’arrive pas à y mettre mon cœur, je ne capte plus ce que j’étudie, je sens que je chute de jour en jour.

Il arrive souvent qu’il y ait des montées et descentes dans le travail divin. Il faut savoir que chaque descente est pour mieux remonter.
La ‘Hassidout explique que l’homme peut se trouver dans une situation où il reçoit de l’aide d’en haut, il en ressent un très grand éveil spirituel. Cela s’appelle  » réveil d’en haut: Itarouta Déléila ». Mais en général cette situation ne dure pas longtemps, et tout à coup la personne se sent vidée. A ce moment là il faut renforcer l’acceptation du joug divin ainsi que l’assiduité, il faut alors investir ses propres forces, ainsi qu’une auto discipline stricte.
Il ne faut donc pas s’affoler de cela. Cela fait partie de notre responsabilité d’accomplir les Mitsvots pour D… et non parce que nous en ressentons le plaisir spirituel.
SDV, en continuant à étudier régulièrement la ‘Hassidout, à se concentrer dans la Téfila malgré la difficulté, et surtout à ne pas tomber dans un état de tristesse, Hachem aidera et vous retrouverez cette sensation d’élan. Le « réveil d’en haut » qui arrive après le « réveil d’en bas » dure plus longtemps et agit plus intérieurement.

Sources