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Depuis toujours, j’ai la mauvaise habitude de perdre mon temps, puis de le regretter. J’ai beaucoup de travail et de choses à accomplir, et je n’y arrive pas au niveau du temps. Je souffre énormément de cela et voudrait exploiter mon temps de la meilleure façon. J’ai essayé de changer de plusieurs manières, mais sans succès. Ces derniers temps, BH, j’étudie le Tanya. Je comprends que la tristesse est indésirable, et qu’il faut agir dans la joie. Le problème est que je n’y arrive pas. Je ressens une sensation de désespoir, je n’arrive pas à croire vraiment que je peux changer. Je prie Hachem avec cette même sensation de désespoir et en sachant que  » le prisonnier ne peut se détacher de ses chaînes ». Il y a des jours où j’exploite bien mon temps, mais ils sont peu nombreux. La perte de temps s’exprime essentiellement par des levés très tardifs, des conversations futiles au téléphone, etc. je suis toujours balancée entre tension et anxiété et entre indifférence. Lorsque je m’assieds un jour ou deux pour me préparer à un examen, j’y arrive! Mais il faut pour cela que je sente que je n’ai plus le choix. Sinon, je continue à perdre mon temps. Et cela, bien que je souffre de tout cela, et qu’il m’est très important de réussir. De plus, je suis entourée d’amies qui se trouvent dans la même situation que moi, et qui n’arrivent pas non plus à changer. Comment puis je sortir de cette situation?

Nom du Rabbin:

Depuis toujours, j’ai la mauvaise habitude de perdre mon temps, puis de le regretter. J’ai beaucoup de travail et de choses à accomplir, et je n’y arrive pas au niveau du temps. Je souffre énormément de cela et voudrait exploiter mon temps de la meilleure façon. J’ai essayé de changer de plusieurs manières, mais sans succès. Ces derniers temps, BH, j’étudie le Tanya. Je comprends que la tristesse est indésirable, et qu’il faut agir dans la joie. Le problème est que je n’y arrive pas. Je ressens une sensation de désespoir, je n’arrive pas à croire vraiment que je peux changer. Je prie Hachem avec cette même sensation de désespoir et en sachant que  » le prisonnier ne peut se détacher de ses chaînes ». Il y a des jours où j’exploite bien mon temps, mais ils sont peu nombreux. La perte de temps s’exprime essentiellement par des levés très tardifs, des conversations futiles au téléphone, etc. je suis toujours balancée entre tension et anxiété et entre indifférence. Lorsque je m’assieds un jour ou deux pour me préparer à un examen, j’y arrive! Mais il faut pour cela que je sente que je n’ai plus le choix. Sinon, je continue à perdre mon temps. Et cela, bien que je souffre de tout cela, et qu’il m’est très important de réussir. De plus, je suis entourée d’amies qui se trouvent dans la même situation que moi, et qui n’arrivent pas non plus à changer. Comment puis je sortir de cette situation?

Il s’agit en effet du problème d’auto gérance du temps et de soi même. Il est évident que la tristesse et le désespoir n’aident pas à sortir de ce cercle vicieux, et il est donc impératif, avant tout, de ne pas y tomber.
Il est important dans un premier temps de trouver en vous-même ce qui pose problème exactement.Il faut préparer un emploi du temps idéal, le plus détaillé possible, et essayer de s’y tenir, étape par étape. Ceci, en sachant que des difficultés peuvent apparaître, et cela est légitime. Mais lorsque l’on fait de l’ordre dans sa tête, et aussi par écrit, et que l’on essaye de s’y tenir, alors on s’aperçoit que l’on est capable de surmonter la difficulté.
Il se peut que l’on s’aperçoive que l’on a du mal à faire de l’ordre toute seule. Il est donc conseillé de s’aider de quelqu’un, cette personne pourra se rendre compte des points de difficulté, et de la façon de les surmonter. Nos Sages ont dit que « la délivrance arrive par le biais de conseillers ». Il se peut également qu’il vous sera bon de faire du coaching qui aidera à mettre le doigt sur les points sensibles, les travailler et établir des buts personnels.

Sources